Le stress et la greffe capillaire
Le stress est l’un des facteurs les plus souvent cités lorsqu’on parle de chute de cheveux. Il peut fragiliser le cuir chevelu, ralentir la repousse, et affecter la cicatrisation. Faut-il alors reporter sa greffe capillaire en période de stress intense ? Voici ce qu’il faut savoir pour faire le bon choix.
Le stress et la chute de cheveux
Lors d’un stress prolongé, le corps libère du cortisol, une hormone qui peut perturber le cycle de vie des cheveux. Cela peut entraîner une chute réactionnelle appelée effluvium télogène. Dans ce cas, les cheveux tombent en plus grand nombre, quelques semaines après l’événement stressant.
Ce type de chute n’est pas permanent, mais il peut compliquer la lecture de la densité réelle et retarder une repousse post-greffe si l’intervention est faite pendant une période de déséquilibre.
L’impact du stress sur la cicatrisation
Après une greffe capillaire, l’organisme a besoin de ressources pour réparer les tissus et faire « prendre » les greffons. Or, un état de stress chronique peut freiner ce processus. Il augmente les risques d’inflammation, d’irritation du cuir chevelu, voire de retard dans la régénération de la peau.
Il est donc préférable d’aborder cette opération dans un état de stabilité émotionnelle. Cela maximise les chances de guérison rapide et d’un résultat homogène.
Stress et greffe capillaire: Faut-il attendre pour se faire greffer ?
Pas forcément. Si votre stress est temporaire et lié à un événement ponctuel (changement de travail, examens, déménagement…), il suffit souvent de le gérer correctement avant l’intervention. En revanche, si vous êtes dans une période de fatigue mentale prolongée ou de trouble anxieux, mieux vaut en discuter avec nos spécialistes.
En résumé
😓 Le stress peut influencer les résultats d’une greffe
💡 Une bonne hygiène de vie favorise la cicatrisation
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